FirstBank DRC SA et Orange RDC sont fiers d’annoncer leur partenariat à travers lequel ils lancent sur le marché l’offre « Crédit Orange Energie » qui va permettre aux clients d’Orange et de FirstBank, en particulier et au public en général d’accéder à l’énergie solaire permanente et abordable grâce aux différents kits Orange Energie.

En tant que filiale de First Bank of Nigeria, FirstBank DRC SA est engagée non seulement à développer son personnel mais également à minimiser son impact environnemental et à répondre aux besoins de ses clients ; c’est cet engagement qui est à la base de notre partenariat avec Orange car notre mission est d’offrir des solutions bancaires qui apportent de la valeur ajoutée et qui répondent aux besoins des congolais en général et de notre estimée clientèle en particulier.

L’accompagnement de la FirstBank à ce projet illustre encore une fois notre engagement en tant qu’institution financière qui contribue au développement en apportant des solutions adaptées. Nous sommes déterminés à travailler avec les entreprises qui, comme Orange désirent promouvoir notre objectif d’être la banque de 1er choix dans la construction de l’avenir des congolais.

« Je suis particulièrement heureux d’être témoin du lancement de cette offre qui, j’en suis persuadé, contribuera à l’amélioration des conditions de vie au quotidien de la population. » Akeem Oladele, Directeur Général

Pour accéder au Crédit Orange Energie, il suffit de se présenter dans une des boutiques Orange, de choisir un Kit Orange énergie Gold ou Premium, d’obtenir la facture proforma puis de se rendre dans une agence FirstBank pour obtenir le crédit qui financera l’acquisition de son Kit Orange Energie.

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September 18th, 2021

FirstBank DRC SA sponsor officiel de l’évènement les « Samedi de l’info » organisé, le samedi 19 septembre 2020, par Breakfast Connexion en partenariat avec Top Congo et Zoom éco sur la question épineuse du crédit en RDC. En effet, il est de notoriété publique que le crédit est difficile d’accès tant pour les entreprises, PMEs que pour les particuliers de manière général. 

Les chiffres de la Banque Centrale du Congo renseignent que la part des crédits dans le PIB du pays est de 6,7%, en phase avec le taux de bancarisation du pays qui est à 7%, et de loin inférieur à celui enregistré pour le continent africain de 46%. 

En effet, le crédit n’est pas facilement accessible en R.D. Congo, et lorsqu’il l’est, on note qu’il est très cher avec des taux pouvant aller jusqu’à 25% l’an ; ce qui le rend très coûteux pour la majeure partie de la population active comme pour les PMEs. C’est ainsi que « les samedis de l’info » a réuni un panel d’experts du gouvernement – Présidence de la république et Banque Centrale du Congo, des opérateurs économiques et entrepreneurs mais aussi des représentants des banques et assurances dont la FirstBank DRC SA afin de réfléchir sur ce sujet qui freine le développement de notre cher et beau pays.

Monsieur le Directeur Général, pourquoi est-ce que le crédit est si difficile d’accès en RDC ?

Il est important que nous commencions par dire que les banques prêtent aux personnes et entités qui ont les moyens de rembourser leurs prêts. La contribution des banques à l’économie qui passe par le crédit a augmenté sensiblement comparé à la décennie précédente, mais reste en effet insignifiante par rapport aux besoins et à la taille du pays. Les couches principales de la société qui souffrent de ce manque d’accès au crédit sont les PMEs, le grand public, surtout ceux qui évolue dans le secteur agricole.

Pour FirstBank, Il y a plusieurs facteurs qui rendent le crédit difficile d’accès en RDC dont 7 principaux que nous souhaitons partager, à savoir : 

  1. La Limite des dépôts : les banques ne peuvent pas accorder de prêt à tout le monde parce que les dépôts dont elles disposent sont limités. De plus la règlementation de la Banque Centrale du Congo ne permet pas aux banques de prêter au-delà d’un certain seuil.
  2. l’absence d’états financiers bien présentés : Le client (entreprise, PME) qui demande un prêt doit être évaluées ; il doit présenter des états financiers spécifiques et fiables à cette fin pour permettre à la banque non seulement d’évaluer sa structure financière mais aussi de se rassurer de sa capacité de remboursement. Malheureusement beaucoup d’entre elles ne disposent pas de ces états financiers et encore moins revus par un auditeur externe comme le recommande les bonnes pratiques, ce qui empêche aux banques de finaliser leurs évaluations en vue de la prise d’une décision, et se voit très souvent refuser le crédit.
  3. La crainte de la fraude : l’absence d’un système d’identification fiable et de qualité dans le pays, qui permettrait d’identifier chaque individu, rend difficile le suivi des mouvements financiers de ces derniers ; ce qui permet aux individus mal intentionnés de se dérober après avoir contracté un prêt. Pour cette raison seules les personnes pouvant être identifiés au travers d’un employeur digne de confiance ou d’une entité sœur de bonne notoriété ont la possibilité de contracter un crédit auprès des banques.
  4. La performance mitigée de la Centrale des risques : La Banque centrale a mis en place une “Centrale des risques” dont le fonctionnement ne permet pas encore l’accès régulier et rapide à certaines informations pratiques et utiles telles que : l’historique crédit d’un client donné ou la qualité et la disponibilité d’un bien à recevoir garanti. Le fait de ne pas avoir ce niveau de précision de l’information fait que les banques sont toujours confrontées à des problèmes qui rendent la décision difficile et augmente le risque auquel elles sont confrontées.
  5. Le Retards de paiement : l’État étant le plus grand consommateur de biens et de services dans toute économie, nombreuses entreprises, clientes de banques, travaillent en collaboration avec lui.  Ces entreprises préfinancent très souvent leurs commandes avec l’aide de leurs banquiers mais subissent des retards de paiements de l’État, ce qui fait qu’elles se retrouvent rapidement en défaut de paiement alors que les banques sont tenues de faire des provisions pour tous les crédits accordés (1% provision général et ce taux augmente selon la durée des retards de paiement) ce qui fait que les banques se retrouvent à refuser d’accorder des crédits à certaines d’entre elles.
  6. La non liquidité du marché immobilier : en RDC, les propriétés immobilières sont prises comme sécurité cependant les banques rencontrent des difficultés à réaliser ces hypothèques. En plus des problèmes juridiques, le marché de l’immobilier n’est pas liquide, ce qui signifie que lorsque vous prenez des propriétés en garantie d’un prêt, vous ne savez pas les vendre rapidement pour couvrir la créance en cas défaut.
  7. La Capacité de remboursement: la capacité du client à rembourser le prêt est un critère déterminant pour se voir accorder un crédit. Sans une bonne trésorerie, flux financiers présents ou prévisionnels, ou encore une rémunération régulière (s’agissant des individus), etc., il est difficile à une banque de s’assurer un remboursement de son client, et donc de consentir à lui accorder un crédit.

Quelle serait vos pistes de solution pour permettre à une plus grande couche de la société d’accéder au crédit ?

Le développement des PMEs dans le formel et la création d’une classe moyenne sont des facteurs importants pour le développement du pays, même si les prêts à certaines couches sociales sont difficiles aujourd’hui compte tenu du risque autour d’elles.

L’amélioration de l’accès au crédit représente tout un processus. Et comme l’a démontré plusieurs études, des mesures concrètes à court, moyen et long terme devraient être mises en œuvre avec l’engagement des différentes parties prenantes du secteur financier, à savoir : le gouvernement, la Banque Centrale du Congo, les Intermédiaires financiers, les structures d’encadrement des PME, PMI et les autres opérateurs économiques.

Des solutions concrètes à proposer sur base de notre expérience au Nigéria ou ailleurs afin de rendre le crédit plus accessible en R.D. Congo, il s’agirait entre autre :

  1. La création d’une institution en charge de l’éducation financière qui aurait pour rôle :
  • Inculquer la culture bancaire (épargne, transactions dans circuit transparent, etc.) dans le chef des individus et des entrepreneurs,
  • D’aider les entrepreneurs à présenter leurs états financiers de façon correcte et fiable pour être acceptée par les banques mais aussi 
  • Collaborer avec une firme indépendante d’audit ou de révisera comptable qui pourrait certifier les états financiers. 
  1. La Banque Centrale du Congo pourrait aussi édicter une règlementation requérant aux banques commerciales de pouvoir affecter 5% de leur profit après taxe au financement des PMEs, financement qui serait garanti à hauteur de 50% par la Banque Centrale, ainsi les banques ne prendraient pas seules le risque.
  2. Enfin la Banque Centrale du Congo pourrait aussi décider de financer les PMEs au travers des banques commerciales en leur prêtant à un certain taux et en fixant le taux auquel ces dernières devraient prêter aux PMEs

Les mesures précitées ne sont pas les seules mais nous les voyons comme des mesures qui pourraient être appliquées assez aisément dans un premier temps.

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October 3rd, 2020

Kinshasa 1er avril 2019

Dimanche dernier, le 31 mars, le Groupe First Bank of Nigeria Limited a franchi le cap extraordinaire de 125 ans d’existence. En effet, créée en mars 1894, la banque fait partie des marques les plus durables qui aient vécu en Afrique. En tant qu’institution de longue date, qui a même précédé le Nigeria en tant qu’entité unifiée, le Groupe FirstBank est enraciné dans le développement des nations ; il fait partie intégrante du tissu économique et environnemental des sociétés dans lequel il évolue, prenant une part toujours active à chaque phase de la croissance nationale et du développement des nations.

Depuis ses débuts très modestes en 1894, le Groupe FirstBank a développé des services financiers innovateurs, adaptés et taillés sur mesure pour ses clients ; il a également soutenu le développement du Nigeria, de l’Afrique de l’Ouest et de l’Afrique Central, sans oublier le rôle central qu’il joue auprès des autorités monétaires et fiscales dans la région ouest africaine.

Aujourd’hui, nous célébrons 125 ans d’activités commerciales ininterrompues au Nigeria ; 125 ans de soutien et de réalisation de rêves ; 125 ans de résilience et de pertinence ; 125 ans de confiance, de sûreté et de sécurité ; 125 ans de valeur à long terme pour toutes les parties prenantes ; 125 ans cousu dans le tissu social de différentes communautés et donc, nous osons dire, 125 ans sans comparaison !

En République Démocratique du Congo, cette célébration s’est fait accompagner d’une série d’événements organisé par FirstBank DRC, dont l’inauguration de son agence nouvellement rénovée au rez-de-chaussée de sa Direction Générale et siège social située au 191, avenue de l’Équateur ce 1er avril 2019, ” Les clients sont au centre de nos activités, c’est pourquoi notre devise est Vous d’Abord ; nous voulons leur offrir un environnement amélioré pour effectuer leurs transactions. A cet occasion nous réitérons notre engagement de leur fournir en permanence le standard d’excellence de l’expérience client, maintenant et pour les 125 prochaines années. Nous ne saurions trop remercier nos clients, c’est leur confiance qui nous a menés jusqu’ici et nous voulons leur assurer que nous sommes déterminés à les servir pour les années à venir.” a déclaré Akeem Oladele, Directeur Général de FirstBank DRC SA.

 

 

 

A propos de FirstBank DRC SA

 

FirstBank DRC SA est une filiale de First Bank of Nigeria Limited, le premier groupe bancaire en Afrique subsaharienne. La marque FirstBank a été lancée en septembre 2014, après que la Banque centrale du Congo a approuvé le changement de nom de la Banque Internationale de Crédit (B.I.C.) qui a été créée en avril 1994.

Le Groupe FirstBank du Nigeria, première banque panafricaine en Afrique subsaharienne, dont FirstBank DRC SA en République démocratique du Congo est l’une des filiales, a été créé en 1894 et compte aujourd’hui 125 ans d’existence, ce qui la classe parmi les institutions les plus anciennes en Afrique.

FirstBank DRC SA offre une gamme complète de produits et services pour les particuliers, les PME et les entreprises : comptes bancaires, courants, épargne ; banque en ligne, solutions de recouvrement, moyens de paiement, financement personnel, PME et entreprises, etc.

Contactez-nous www.fbnbankrdc.com +24381555558858 contact@FirstBankrdc.com

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April 2nd, 2020
Posted In: Uncategorized

Laisser des empreintes visibles au sein de la communauté, c’est dans ce cadre que la FirstBank RDC SA a visité ce jeudi 21 juin 2018, le Centre Orphelinat Lisanga ya ba Klisto dans la commune de Ngaba, pour la seconde année consécutive à l’occasion de son programme de Responsabilité Sociale de l’Entreprise et de Développement Durable.

Depuis 2017, La First Bank of Nigeria Limited, premier groupe bancaire en Afrique subsaharienne dont la FirstBank RDC SA est la filiale, fait la promotion de son programme de Responsabilité Sociale d’Entreprise et de Développement Durable consistant pour chaque employé de la banque, à consacrer une partie de son temps de travail dans des activités de libre volontariat et bénévolat au profit des communautés locales.
C’est ainsi que le Directeur Général de la FirstBank RDC SA, Monsieur Akeem Babatunde Oladele, accompagné de toute l’équipe Managériale de la banque a fait une visite à l’orphelinat CENTRE LISANGA YA BA KLISTO avec un lot important de vivres et nécessaire de toilette, dont des sacs de semoules de Mais de 25 kg, des sacs de riz de 50 kg, du lait, du sucre, ainsi que des matelas.

« Nous sommes venus passer du temps avec les enfants, et vous apporter notre humble contribution ; parce que nous reconnaissons l’importance du travail que vous accomplissez avec ces enfants ; ce geste est un témoignage de notre appartenance à notre communauté. Nous essayerons de faire de notre mieux pour contribuer au moins une fois par an. », a déclaré le Directeur Général de la FirstBank RDC SA, Monsieur Akeem Babatunde Oladele.

L’Orphelinat LISANGA YA BA KLISTO, dirigée par Mme Monique BAGI PALEO, existe depuis Février 1994 et héberge à ce jour plus quatre-vingt-dix orphelins dont l’âge varie de 8 mois à plus de dix-huit ans.

En dehors de l’apport de la Banque en tant qu’entreprise citoyenne et soucieuse du bien-être de la population Congolaise, le Directeur Général ainsi que tous les agents de la banque ont fait la promesse de contribuer chacun individuellement pour l’orphelinat et ce, mensuellement.

Les femmes employées à la banque se sont ensuite entretenues avec les jeunes filles en âge de puberté pour s’enquérir de leurs besoins courants, mais aussi pour leur prodiguer des conseils sur l’hygiène, l’importance de faire des études ainsi que le comportement à avoir vis-à-vis du sexe opposé.

La visite s’est clôturée sur une note de satisfaction, de joie et de partage après un rafraichissement avec les enfants, les éducateurs.

fbnweb
March 11th, 2019
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